Le résumé:

Les nanoparticules, qui sont d’usage de plus en plus courant, posent un défi majeur en termes de toxicologie, en particulier au moment d’aborder le problème des interférences de leur action avec d’autres facteurs liés par exemple à l’environnement ou au mode de vie. Pour ce faire, des données sur leurs mécanismes d’action sur les cellules sont indispensables, et les analyses « omiques » permettent d’élargir considérablement ce champ de la toxicologie mécanistique.

Les résultats présentés ici illustrent les capacités de l’analyse protéomique pour la toxicologie mécanistique et comparative de plusieurs nanoparticules métalliques.